Face aux critiques venues tout à la fois des communautés, des acteurs publics et privés et de la recherche, le Comité International Olympique s’est engagé dans une gouvernance ouverte à ses parties prenantes et guidée par l’héritage des Jeux. En dépit de ces efforts, cette revue narrative montre que ce choix ne semble pas pertinent sur le moyen et long terme, en particulier car il est exclusif des autres dimensions de la gouvernance et de la performance des JO. Une ouverture au concept de performance globale et une approche collaborative (menant à la cohabitation du contrôle et de la qualité de la relation avec les parties prenantes) sont proposées.
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